Les automutilations concernent entre 1% et 4% de la population et débutent le plus souvent à l’adolescence.
On estime que les personnes qui pratiquent l’automutilation ont 5 fois plus de risques d’être concernées par un trouble dépressif. Ainsi, tous les comportements d’automutilation doivent être pris au sérieux, peu importe la gravité des blessures.
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